Cambodge

Pays étendard de 1001fontaines, le Cambodge témoigne depuis 2005 de la pertinence de son modèle d’accès pérenne à l’eau potable, et de sa capacité à devenir 100% autonome.

Structure locale

Teuk Saat 1001
(“Eau potable” en cambodgien)

Marque de l’eau produite

O-we

LE MOT DE LA DIRECTION LOCALE

Au Cambodge, notre programme phare a permis la mise en place réussie de plus de 341 water kiosks à travers le pays, grâce à une collaboration durable avec le Ministère du Développement Rural. Gérés par des entrepreneurs locaux, ces kiosks sont supervisés par Teuk Saat 1001, notre organisation partenaire locale. Les revenus générés par la vente de l’eau assurent la pérennité des services, au niveau communautaire et au niveau national. Malgré le contexte de vulnérabilité rurale dans lequel nous opérons, nous avons constaté un fort taux d’adoption et une volonté de payer pour nos services, même parmi les populations les plus défavorisées. Ce succès est dû à la haute qualité de notre eau et à la confiance suscitée par le professionnalisme de nos services.

Actuellement, plus de 1 154 000 personnes boivent l’eau O-we à travers le Cambodge, dont plus de 376 000 écoliers, démontrant la contribution significative de notre modèle à l’accès universel à l’eau potable.

Amandine Chaussinand

Notre impact aujourd’hui

341

Water Kiosks dont 90% ayant atteint la rentabilité

877 572
litres d’eau produits chaque jour

1 154 760
bénéficiaires dont
376 000 enfants

5
plateformes
régionales

Plus de 1 000
écoles alimentées

1 100
emplois locaux créés

Notre ambition

– 1 –

Couvrir 100% des communes rurales de plus de 10 000 habitants

– 2 –

Être le partenaire privilégié du gouvernement pour les zones rurales

– 3 –

Devenir une vitrine du social business, en étant capable d’autofinancer la croissance

Avant d’avoir l’eau de 1001fontaines à la maison, je faisais bouillir l’eau de la mare. Mais l’eau bouillie, même après avoir reposé, reste chaude longtemps, alors les enfants continuaient d’aller boire l’eau de la mare. Maintenant, ils préfèrent revenir boire à la maison quand ils jouent. Ils se servent l’eau de la bonbonne et ne sont presque plus jamais malades. Je suis contente pour eux, parce qu’ils peuvent profiter de l’école, et quand ils auront grandi ils auront un métier. Je gagne du temps car je n’ai plus à faire bouillir l’eau, mais aussi de l’argent : je n’ai plus à emmener mes enfants au dispensaire et j’économise le prix des médicaments.

Sokha, village de Prek Luong